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   Concernant les terres agricoles, il ne s'agit pas seulement de préserver les terres agricoles, mais également d'une question d'environnement dans cette controverse.

   

Ronan Hebert, de son statut de commissaire enquêteur et de maître de conférences (chargé de mission Développement Durable), donne un avis défavorable au projet dans son rapport d’enquête. En effet, il semble s’opposer fermement au plan local d’urbanisme de Gonesse élaboré pour le projet. Premièrement, il évoque son principal argument qui est celui du développement durable. Le projet est "incompatible avec le pilier environnemental par ses impacts sur le changement climatique, la destruction de ressources et l’atteinte à la biodiversité.". Il nous exprime que la notion de durabilité n'est pas respectée. En effet, le projet ne respecte pas l'ensemble des piliers du développement durable

 De plus selon Michel Lussault "en Europe, on réfléchit plutôt à d'autres formes d'espaces commerciaux que de grands centres accumulateurs d'automobiles. On pense aujourd'hui aux services et aux commerces de proximité, à la diffusion du commerce par Internet, et on se demande si ces débats sont arrivés aux oreilles des concepteurs de ce projet." Son idée ici est fondée sur la question de la pollution comme prouve le passage «accumulateurs d’automobile ». En outre, il met en avant d’autre moyen qui pourrait selon lui remplacer ce type de hub notamment en citant «le commerce de proximité» et «commerce par internet». Ces derniers sont des principaux acteurs d’une transition commerciale, qui serait de ne plus consommer, dans une infrastructure néfaste sur plusieurs plans, mais bien que la consommation vienne à nous, ou soit déjà à coter de chez nous. C’est cela qui traduit l’avis défavorable du Géographe contre ce projet.

 

   De plus, Bernard loup, le président du collectif pour le Triangle de Gonesse constitué en mars 2011, soutient l'idée de Michel Lussault : « Tout le monde n’a que le mot ’’transition écologique’’ à la bouche, mais il faut mettre des actes derrière les formules […]". En effet, cela revient au fait de l'idée de Michel Lussault qui lui pense à d'autre forme de consommation comme internet parce qu'en passant avec internet nous polluons moins. Donc cette transition peut se rapporter à la transition écologique. 

   Pour conclure de nos jours le taux de CO2 est très élevé. Nous sommes d'ailleurs dans un contexte de pollution important.

 

 

 

 

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